Photo prise sur conseildesarts.ca
Robert Morin est dans le paysage du cinéma québécois depuis plus de 30 ans. Il tourne généralement ses films en vidéo (VHS, miniDV, digitale, etc) avec de petits budgets. Dans les faits, comparé aux autres cinéastes, ses longs métrages ne coûtes rien (entre 0$ et 3000$, parfois). Peu de gens connaissent se cinéaste, mais il vit de la fiction depuis 30 ans!
Dimanche dernier, j'ai assisté à une Classe de Maître donné par cet homme de 61 ans. J'ai décider de parler de certains concepts dont il a parlé.
Avoir du plaisir: Plusieurs fois durant la classe, Morin recevait des questions. « Comment arrives-tu à faire des films à ton âge? », « Pourquoi fais-tu des films? », « Qu'est-ce qui t'attire dans le cinéma? », etc. La réponse général à toutes ces question était simple et honnête. C'est parce qu'il a du FUN! Beaucoup de gens dans la salle ne semblaient pas vraiment comprendre. Pourtant c'est la base de toute chose. N'importe quel être humain devrait comprendre ce concept. FAITES SE QUE VOUS AIMEZ FAIRE! Arrêtez de vous poser des questions stupides. La vie est courte. Suivez vos passions. L'argent n'est pas importante tant que vous aimez ce que vous faites. Robert Morin aime écrire, mais ce n'était pas le cas il y a 30 ans. Il écrit des piles de scénario par année. Il aime réaliser. Il réalise un film au 2 ans. Maintenant, il aime acter. Il joue dans ses films. Il n'aime pas faire du montage. Quelqu'un d'autre monte ses films. Etc. Il n'y a pas de secrets à la réussite: Faites ce que vous aimez et travailler dur. Et si un jour vous n'aimez plus cela, faites autres chose. Il faut être honnête avec soit.
Les films engagés n'existent pas: Robert Morin a dit à propos de Pierre Falardeau: « Falardeau n'a jamais convaincu personne avec ses films. Les seuls gens qui écoutent le message engagé dans ses films sont les indépendantistes! » Ce n'est pas faux. Avant 19 ans, lorsque j'ai découvert le concept de l'indépendance, je trouvais les films de Pierre Falardeau plates et sans intérêts. (On voit ici mon peu d'ouverture d'esprit à l'époque!) Donc, à la fin, c'est l'histoire qui compte.
L'important c'est pas la caméra, mais la qualité du sujet: Je reviens avec la dernière phrase. Pas d'histoire, pas de film. Que l'on film avec de la pellicule, une RED Epic, un Canon 5D, un cellulaire ou une patate. L'important, c'est d'avoir une bonne histoire.
Scénariser, c'est la parti créative: Écrire, c'est le moment où tu peux dire ce que tu veux. Il n'y a pas de limite. L'imagination n'a pas de limite. Mais il faut dire que mettre en images ce qui est sur papier demande BEAUCOUP de créativité! Mais ça, c'est une autre histoire...
Dimanche dernier, j'ai assisté à une Classe de Maître donné par cet homme de 61 ans. J'ai décider de parler de certains concepts dont il a parlé.
Avoir du plaisir: Plusieurs fois durant la classe, Morin recevait des questions. « Comment arrives-tu à faire des films à ton âge? », « Pourquoi fais-tu des films? », « Qu'est-ce qui t'attire dans le cinéma? », etc. La réponse général à toutes ces question était simple et honnête. C'est parce qu'il a du FUN! Beaucoup de gens dans la salle ne semblaient pas vraiment comprendre. Pourtant c'est la base de toute chose. N'importe quel être humain devrait comprendre ce concept. FAITES SE QUE VOUS AIMEZ FAIRE! Arrêtez de vous poser des questions stupides. La vie est courte. Suivez vos passions. L'argent n'est pas importante tant que vous aimez ce que vous faites. Robert Morin aime écrire, mais ce n'était pas le cas il y a 30 ans. Il écrit des piles de scénario par année. Il aime réaliser. Il réalise un film au 2 ans. Maintenant, il aime acter. Il joue dans ses films. Il n'aime pas faire du montage. Quelqu'un d'autre monte ses films. Etc. Il n'y a pas de secrets à la réussite: Faites ce que vous aimez et travailler dur. Et si un jour vous n'aimez plus cela, faites autres chose. Il faut être honnête avec soit.
Les films engagés n'existent pas: Robert Morin a dit à propos de Pierre Falardeau: « Falardeau n'a jamais convaincu personne avec ses films. Les seuls gens qui écoutent le message engagé dans ses films sont les indépendantistes! » Ce n'est pas faux. Avant 19 ans, lorsque j'ai découvert le concept de l'indépendance, je trouvais les films de Pierre Falardeau plates et sans intérêts. (On voit ici mon peu d'ouverture d'esprit à l'époque!) Donc, à la fin, c'est l'histoire qui compte.
L'important c'est pas la caméra, mais la qualité du sujet: Je reviens avec la dernière phrase. Pas d'histoire, pas de film. Que l'on film avec de la pellicule, une RED Epic, un Canon 5D, un cellulaire ou une patate. L'important, c'est d'avoir une bonne histoire.
Scénariser, c'est la parti créative: Écrire, c'est le moment où tu peux dire ce que tu veux. Il n'y a pas de limite. L'imagination n'a pas de limite. Mais il faut dire que mettre en images ce qui est sur papier demande BEAUCOUP de créativité! Mais ça, c'est une autre histoire...